Microsoft a lancé cette semaine Windows 11 version 25H2, une mise à jour qui arrive sans grands chamboulements mais avec un vrai plus pour les pros : elle s’installe en un clin d’œil sur les machines en 24H2, juste avec un redémarrage rapide.
Ça réduit les temps d’arrêt, ce qui est top pour les entreprises. Mais attention, l’équipe de Redmond alerte déjà : si vous activez le hotpatching, ce système malin qui applique les correctifs de sécurité sans redémarrer, il faut choisir le bon moment pour passer à 25H2. Sinon, ça peut compliquer la suite.
Rappelons ce qu’est le hotpatching : lancé au printemps 2025, il permet d’installer la plupart des mises à jour sécurité en live, sans reboot. Ça suit un rythme clair : des « mises à jour de base » tous les trois mois (janvier, avril, juillet, octobre), qui demandent un redémarrage et ajoutent des nouveautés, suivies de deux mois de hotpatches légers. Par exemple, après octobre viennent novembre et décembre sans interruption. C’est génial pour garder les PC stables, surtout en entreprise avec des licences comme Microsoft 365 ou Windows 11 Pro.
Le hic ? Si vous migrez vers 25H2 en plein milieu d’un cycle hotpatch, comme en novembre, le rythme se casse. Votre machine repasse aux mises à jour classiques, avec redémarrages mensuels obligatoires, jusqu’à janvier 2026. Microsoft conseille donc d’attendre les fenêtres de base, comme ce mois d’octobre 2025, pour éviter les galères.
Pour aider, Microsoft a mis en ligne un tableau précis sur son tableau de bord santé Windows. Ça permet de planifier sans stress, et les tests montrent que le hotpatching booste la productivité de 20 % en limitant les interruptions. En Europe, où les règles sur les données sont strictes, cette transparence est bienvenue pour les boîtes qui veulent rester sécurisées sans downtime constant.
Cet article a été modifié pour la dernière fois le 3 octobre 2025 17h26